Loire-Atlantique

Nouvelle journée de manifestation mardi 7 février

Mardi, en Loire-Atlantique, comme ailleurs, un appel à la mobilisation contre la réforme des retraites est lancé par l'intersyndicale.

Nouvelle journée de manifestation mardi 7 février, en Loire-Atlantique, à l’appel de l’intersyndicale.

L’ensemble des syndicats invite de nouveau la population à descendre dans la rue. Le monde des travailleurs et retraités marquera toujours son désaccord avec la réforme des retraites. Ainsi CFDT, CFE-CGC, FO, FSU, CFTC, UNSA, CGT et Solidaires monte au créneau dans quatre villes du département.

Les rendez-vous en Loire-Atlantique

À Nantes, le rendez-vous a lieu à 10 h30 au Miroir d’eau.
Saint Nazaire, c’est à 10 h,  Place de l’Amérique Latine.
À Ancenis-Saint-Géréon, c’est à 10 h, à la Station Esso.
Et enfin à Châteaubriant,  le rendez-vous est à 10h30, Place de la mairie.

Le mardi 31 janvier 2023, beaucoup de monde, comme le montre notre vidéo sur la chaine Youtube d’Actu44.

Après l’exceptionnelle mobilisation du 31 janvier, qui a réunit 20 % de manifestant.e.s en plus en Loire-Atlantique que le 19 janvier 2023, le mouvement risque de s’amplifier dans l’ensemble des entreprises et administrations.

L’intersyndicale départementale s’est réunie

Pour la CGT dans un communiqué, le syndicat dénonce :

Le gouvernement tente de faire croire que notre système de retraites court à sa perte pour mieux entretenir le brouillard sur ses réelles intentions. Faire des économies pour financer autres choses que les retraites. Notamment, rembourser le « quoiqu’il en coûte » de la crise sanitaire. Et faire plaisir à ses amis capitalistes en leur ouvrant grand les portes d’un nouveau marché très juteux, celui de la retraite par capitalisation où celles et ceux qui en ont les moyens mettront de l’argent dans les assurances privées pour tenter d’obtenir une retraite décente. C’est un marché qui se compte en dizaines de milliards d’euros.

« C’est de l’enfer des pauvres qu’est fait le paradis des riches » disait Victor Hugo. Mettons un terme au sacrifice des travailleurs.euses sur l’autel des profits.

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